La philosophe Agnès Gayraud se penche sur la profondeur de la pop, musique longtemps qualifiée de « légère » et cantonnée à un statut d’objet de consommation. Elle y déploie tous ses paradoxes, au cœur des œuvres musicales elles-mêmes, pour révéler les ramifications esthétiques d’une richesse insoupçonnée de ce qui a peut-être été l’art musical le plus important du XXe siècle.