Charles-Valentin Alkan est, après Berlioz, le compositeur majeur de l'époque romantique en France. Il semblait devoir occuper une place prestigieuse sur la scène parisienne, tant était éblouissante sa virtuosité pianistique, mais sa misanthropie l'éloigna progressivement du public. Fidèle au judaïsme, il se pencha sur la Bible.