Aujourd’hui, des signes graphiques de toutes sortes dessinent dans les partitions de nouveaux «profils» (densités, enveloppes, fluctuations d’énergie…). Ces traductions analogiques du sonore se situent aux deux extrêmes de l’évolution de la notation musicale, laquelle s’est échelonnée sur plus de dix siècles au service non seulement de la transmission des œuvres, mais aussi de leur élaboration et de leur complexification. — Isabelle Panneton et Marie-Pierre Brasset