Le chef d’orchestre est exaspéré. Son jeune violoncelliste ne laisse transparaître aucune passion dans son jeu. Désespéré, Gôshu répète inlassablement ses morceaux sur son instrument abîmé. En vain… jusqu’à ce qu’un chat lui demande de lui jouer Rêverie de Schumann…
Une œuvre intemporelle du grand poète Kenji Miyazawa, d’une modernité saisissante.
Souvent adapté, le texte a traversé les générations, impérissable.