Alors que l'arrivée de Wagner à Paris en 1860 suscite l'émoi du monde musical, Berlioz, qui juge le répertoire de l'Opéra d'une désespérante monotonie, consacre quelques articles aux oeuvres de Gounod ou au génie dramatique de Gluck. Bien que les créations du Théâtre-Lyrique et de l'Opéra-Comique l'inspirent davantage, il démissionne du Journal des débats en 1863, lassé du métier de critique.