La quasi-généralisation de la place du son et de la musique dans la société, notamment marchande, pose celle de ses usages, une si importante allocation financière ou autre pouvant difficilement ne pas impliquer des usages tout aussi nombreux que complexes.
La question est d’autant plus intéressante que, dans ce domaine comme dans d’autres, les usages semblent se diversifier à l’infini. On sait comment, dans le domaine du marketing, notamment celui des biens cognitifs, la notion d’usage s’est imposée face à celle de fonctionnalités. Une meilleure connaissance de ces usages et de leur « valeur d’usage », à tout le moins un début de catégorisation, s’impose aujourd’hui comme objet de recherche, notamment pour tous les acteurs directement ou indirectement concernés par le design sonore, il n’y a pas de « valeur d’usage » en soi mais toujours dans un contexte, économique, social, culturel, politique et certainement anthropologique. Auteurs : ALBARET Aurélie, ANGER Violaine, BARNIER Martin, BLANCHARD Didier, CHELKOFF Grégoire, COCHINI Laurent, DE FRESNOYE Olivier, DINDINAU Jean, DONGO Armand, GOTO Misaki, GOUDEY Alain, HUANG Ying Chun, JOLY Clara, JOUVELOT Pierre, KAARIO Max, LANGLOIS Celsian, MSAKNI Amal, PECQUET Frank, PELÉ Gérard, PERERA Luc, SAN MARTIN Caroline, SCHORPP Estelle, WOLOSZYN Philippe