Le premier concert du jeune pianiste Alexeï Berg, annoncé pour le 24 mai 1941, qui devait être un événement magique marquant pour lui le début d'une nouvelle vie brillante, sera finalement le point de départ de la fuite et d'une existence côtoyant la mort. Le roman d'une destinée qui est aussi un éloge de l'indomptable force d'esprit de l'homme russe.