L'auteur s'interroge sur ce que peut entendre et comprendre l'auditeur contemporain. Appliquant les catégories de la phénoménologie, convoquant la théologie, la psychanalyse et l'herméneutique, il confronte les Evangiles, le livret de l'oeuvre de Bach et les textes de la tradition théologique pour mesurer la distance qui sépare l'auditeur tardif de la "communauté" pour laquelle Bach composait.