Le commentaire envahit tout - souvent, hélas, au détriment de l'oeuvre. Censée se suffire à elle-même, elle ne s'apprécie plus qu'assortie d'un discours. Pire : d'accessoire, le commentaire est devenu central - comme le pilier d'un art qui peinerait désormais à tenir debout tout seul ou qui, faute d'émouvoir, exigerait pour être senti filtres, écrans, médiations.