22 airs d'opéras éditiés par Benoit Dratwicki. Réalisation pour le clavier de François Saint-Yves avec chiffrages.
Préface en français et en anglais
Partition - Chant Piano
CMBV
Référence: CMBVCAH253 9790560162539
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Jean-Baptiste Lully fut le principal artisan de la création de l’opéra français. Sous l’impulsion de Louis XIV, il créa un spectacle ambitieux mêlant à parts égales la poésie, la musique, la danse et la machinerie de théâtre. Après sa mort en 1687, Lully resta un modèle incontournable tout au long du XVIIIe siècle, revendiqué autant par Rameau que par Gluck.
À l’heure ou le théâtre lyrique baroque est à nouveau joué et représenté, le Centre de musique baroque de Versailles a voulu rendre accessible à un large public de chanteurs amateurs et professionnels, de mélomanes et d’étudiants, l’intégralité des monologues et des airs d’opéra français de Lully. Ce recueil propose une partie vocale respectueuse des sources d’époque et une transcription de l’orchestre pour clavier. Adaptées aussi bien au travail qu’au concert ces transcriptions restent volontairement simples et sont aussi bien jouables au piano qu’au clavecin, par l’amateur ou le professionnel.
Chaque air est précédé d’un résumé et d’une transcription du passage correspondant du livret dans son orthographe et sa ponctuation originale, avec une traduction en anglais moderne en vis-à-vis ; le texte chanté est entièrement modernisé.
Ah ! j’attendrai longtemps ! la nuit est loin encore (roland dans rola Armide est encore plus aimable (hidraot dans armide, 1686) Bacchus revient vainqueur des climats de l’aurore (un indien dans le t Belle angélique, enfin je vous trouve en ces lieux (roland dans roland Belle hermione, hélas ! puis-je être heureux sans vous ? (cadmus dans
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Ce casque vous est présenté (une divinité infernale dans persée, 1682) Cessons d’aimer une infidèle (hiérax dans isis, 1677) Dans un piège fatal son mauvais sort l’amène (arcalaüs dans amadis, 16 Dieu qui vous déclarez mon père (épaphus dans phaéton, 1683) Folâtrons, divertissons-nous (momus dans psyché, 1678) Heureux qui peut voir du rivage (protée dans phaéton, 1683) Il faut passer tôt ou tard (charon dans alceste, 1674) Je suis trahi ! ciel !… qui l’aurait pu croire ! (roland dans roland, Le ciel qui m’a fait votre roi (démogorgon dans roland, 1685) Le sort de phaéton se découvre à mes yeux (protée dans phaéton, 1683) Les yeux qui m’ont charmé ne verront plus le jour (pan dans isis, 1677 Que ce jardin se change en un désert affreux (amisodar dans belléropho Que l’on chante, que l’on danse (le dieu du fleuve sangar dans atys, 1 Que rien ne trouble ici vénus et les amours (mars dans thésée, 1675) Quel spectacle charmant pour mon cœur amoureux ! (amisodar dans bellér Un héros qui mérite une gloire immortelle (saturne dans phaéton, 1683) Vous qui reconnaissez ma suprême puissance (pluton dans proserpine, 16