Cet imposant volume fait suite à l’édition critique des Airs de cour de Pierre Guédron, publiée en 2009 par Georgie Durosoir ; il s’inscrit dans la collection Monumentales dédiée à Étienne Moulinié, benjamin, après Guédron et Boesset, de la brillante triade qui domina durant la première moitié du 17e siècle ce genre si français de l’air de cour.