La seconde moitié du XIXème siècle a représenté une sorte d'âge d'or de la sonate pour violon en France : des sonates pour violon influentes telles que celles de Franck, Fauré et Saint-Saëns figuraient parmi les œuvres à succès de ce genre, inspirant de nombreuses autres compositions.
La sonate pour violon n°1 a été incorporée au répertoire de nombreux violonistes de la fin du XIXème siècle peu après sa rédaction. C'est aussi cette sonate qui inspira Marcel Proust lorsqu'il parla de la sonate fictive du compositeur Vinteuil dans son roman « À la recherche du temps perdu ».