«Alors, dès qu'il a couché les enfants, Leopold, le musicien qui un moment s'est pris pour Mozart, renonce à ses œuvres, à sa carrière pour travailler au triomphe de l'enfant et à la consolation de l'Humanité. Il fait les comptes, étudie les commandes, révise les partitions du fils, prépare les voyages, organise tout jusqu'au moindre détail, parce qu'en plus il est souabe et qu'il n'ignore pas qu'on ne pourra venir à bout de ce monde par la musique seule mais qu'il y faut aussi du calcul et de la politique.»