Cette marche du jeune compositeur japonais Itaru Sakai débute avec fougue. La musique s’apaise et le ton devient plus léger. Le solo de clarinette basse à la fin du trio reprend le matériel thématique exposé précédemment par les euphoniums. Après ce passage fluide et calme, la mélodie se développe et s’intensifie pour aboutir à un vif tutti, qui trouve son aboutissement dans un court solo de piccolo menant à un finale majestueux.